Lundi 13 au matin, nous sommes parties de la ferme. Nos sacs étaient chargés pour tenir quelques jours en autonomie. On s'était enfin décidé à partir faire le tour de l'île, en passant par le Mont des Accords, le Pics Paradis... camper au bord de la plage, se baigner et profiter grace à notre masque et tuba des fonds marins de l'îlet pinel.
Lundi 13 au matin, vers 11h, on atteignait le début du sentier et nous cherchions le bon. Oui, la randonnée sur Saint Martin, il faut être motivé. Il n'y a pas réellement de cartes précises, ni de chemins balisés... Bref, ceci nous amène au fait que cherchant le bon chemin, Marie se retrouve face à quelques chiens défendant leur propriété. Ce sont des american staff, ils sont pas commodes et finalement décident de la mordre ! Alors voilà, notre journée de lundi s'est résumé à aller à l'hopital où une équipe d'infirmières joviales et très sympathiques ont soigné Marie. Deux morsures, dont une assez profonde (apparemment un des chiens est parti avec un morceau !!). Heureusement, Marie a de gros mollets, donc rien de très grave. Il suffira juste de veiller à ce que ça ne s'infecte pas. On s'arrange avec les propriétaires des chiens, un jeune couple, pour ne pas porter plainte mais en contre partie ils nous paient deux nuits à l'hotel. Bon, on aurait pu négocier plus !!
Hier nous sommes retournés à Bellevue, où nous sommes toujours les bienvenu-es ! Marie a des soins tous les 2 jours à faire faire par une infirmière et 2 semaines d'antibio. Après cela, on espère bien pouvoir quitter Marigot et découvrir Saint Martin.
jeudi 16 février 2012
mardi 7 février 2012
Ferme agricole de Bellevue
Samedi dans la journée, nous sommes descendu-es du bateau. L'espace était trop petit et on pense qu'Edward avait envie de se retrouver seul, ce qu'on comprend.
En parallèle on avait rencontré nos voisins de bateau. Ils nous avaient proposé de dormir sur le leur si on se retrouvait en galère. Ben ça tombait bien ! Ils nous avaient aussi parlé d'une soirée reggae "aux jardins" vers la sortie de Marigot.
On s'organise. On laisse un sac à dos chez Montaine et Loulou, comme ça on se déplace avec le minimum et c'est beaucoup moins lourd !
Vers 20h, on se rend "aux jardins", sans trop savoir où c'est ! Sur notre chemin, on aperçoit des jeunes faisant du stop. On va pour leur demander notre chemin et là... quelle surprise !! On retrouve Jorden (bateau stoppeuse rencontrée à Mindelo), Ben, Kjel (bateau stoppeurs rencontrés à Las Palmas) et deux autres bateau stoppeurs !!!!
La soirée reggae de déroule en fait à la ferme agricole de Bellevue. Ils fêtent leur 5 ans et font portes ouvertes tout le week end. Au programme : concert, marché de fruits et légumes de la ferme, stand de bouffe, et autres.
On demande si on peut planter la tente au propriétaire ; Bash. Il accepte pour une nuit.
On passe une bonne soirée et on est super heureux de pouvoir planter notre tente !
Dimanche on se réveille pas tard et on demande pour filer un coup de main. On part avec Bash, cueillir du thym, du choux et des papayes pour la vente directe. Finalement, on lui demande si on peut rester plus longtemps, en échange de coups de main. Il accepte pour une semaine !
Lundi on découvre un peu plus ce lieu. Le terrain est prêté par un propriétaire mais ca fait déjà 5 ans qu'ils l'investissent. Le lieu est dirigé par des rastas. C'est une ferme qui produit des fruits, des légumes et des plantes médicinales. Ils font aussi chantier d'insertion, donc on se joint aux gentes qui travaillent ici. Ici, on travaille à son aise !!!
En tout cas, pour le moment on est carrément à l'aise dans ce magnifique lieu, au milieu des noix de coco, papaye et bananes ! Les gentes sont adorables, et on commence à prendre l'accent créole !
On continue notre trucs administratifs sur Marigot, partie nettement plus ennuyante !!!
Le langage marin de notre traversée
la grande voile : attachée au mât. Sur ce genre de traversée, elle n'est pas nécessaire car le vent souffle assez fort et le courant nous pousse.
le foc : petite voile triangulaire à l'avant du bateau.
le genois : voile triangulaire à l'avant du bateau (un peu plus grande que le foc).
le spineaker : grande voile à l'avant du bateau.
On change les voiles en fonction de la vitesse et la direction du vent.
le ris : corde qui passe dans le mât et qui permet de réduire la grande voile.
les boot : on n'utilise pas le mot corde sur un bateau. Heureusement Edward n'est pas superstitieux !
choquer : lâcher, laisser du mou.
border : tirer.
On choque et on borde les écoutes de voile (cordes qui sont attachées à la base de voile)
babord : gauche
tribord : droite
lundi 6 février 2012
La traversée
Mardi 10/01 : départ à 17h, un peu précipité, mais c'est bien !
Marie a un peu le mal de mer. On se répartit les quarts ; 3h chacun-e. Den commence à 21h. Cap 270 degrés ouest ; un oeil sur la boussole et un oeil qui prend un point de repère à l'horizon (étoile, nuage...) et hop ! On tient la barre (pas de pilote automatique), c'est plus ou moins facile selon le vent et les vagues.
Jeudi 12/01 : La mer forcit et on découvre les Saragasses, ces algues jaunes venant de la mer des Sargasses plus au Nord !
On prend le rythme. 3h de quart, 6h de pause qu'on occupe en dormant, petits travaux, nettoyage, repas.
Les alizées nous poussent. La grande voile reste abaissée, pour l'instant le foc suffit.
Vendredi 13/01 : En soirée on aperçoit des dos d'orques, nageant en sens inverse. Ca nous change des poissons volant ! La faune sous marine se fait rare en revanche les oiseaux sont présents.
Mardi 17/01 : Une semaine déjà ! Le temps perd de son sens. Les journées s'enchainent, à notre rythme, toujours le même et pourtant les jours ne se ressemblent pas. La mer est redevenue calme, ca facilite le sommeil !
Les nuits sont claires et pendant le quart, l'observation des étoiles occupe et passe le temps. A tribord la grande ourse nous indique le Nord et à babord, c'est la croix du Sud. Les étoiles filantes sont là tous les soirs, par dizaine ; des grandes, des petites, des lumineuses, des discrètes...
Mercredi 18/01 : Notre premier poisson enfin ! On a une canne à pêche, mais les premiers jours elle s'était emmêlée dans l'hélice du moteur. Elle a finalement cassé et on l'a récupérée. Edward y a mis un hameçon et on a fixé une petite cuillère. Les dorades se laissent avoir facilement par le scintillement. Du poisson au menu, ca change. Tous les jours on prépare du riz. En produit frais on a des oignons et de l'ail pour la quasi totalité du voyage. On a pu manger pomme de terre, oeufs, carottes, pommes, oranges les 2 premières semaines. On avait aussi un peu de fromage et du pain pour les premiers jours. Edward avait un reste de fève et de pois cassé du Maroc. Ca c'était le top ! On a aussi fait des pates à la sauce tomate et de la semoule. Sur la fin on a ouvert des boites de haricots et de sardines pour mélanger avec le riz.
Dimanche 22/01 : le ciel est sombre et vers 14h c'est la grosse pluie. Et hop, c'est parti pour la douche. On l'attendait celle la ! On se déssale un bon coup même si on sait que ca ne va pas durer.
On croise notre premier bateau, un cargo. On le capte par radio, il se rend au Surinam.
Dans la nuit, les dauphins viennent à coté du bateau mais c'est la nuit et on ne voit rien.
Mercredi 25/01 : Ça fait 2 semaines. On commence vraiment à s'intéresser à l'avancée. Tous les midis, Edward fait le relevé de la position et calcule notre distance parcouru. On a fait environ 1500 mile sur 2200. On avance en moyenne de 100 mile par jour. On sait qu'on a fait les 2/3 du chemin, ca rassure, on se rapproche de l'arrivée !
Le rythme n'a pas changé, les activités sont les mêmes. Pendant un moment, on a mis le spi, on avançait à 7 nœuds, mais ca tirait fort sur la barre.
Ces derniers jours on navigue avec le genois ; on a perdu le spi qui s'est glissé hors de son sac.
Le vent s'est arrêté ce jour, c'est rageant. En plus il y a une plus fine et froide qui tombe.
Jeudi 26/01 : On hisse la grande voile pour avancer plus rapidement. Dans la nuit on a manqué un sacré gros poisson. On a voulu le tirer trop vite au lieu de le laisser se fatiguer et résultat il a réussi à s'échapper !
Vendredi 27 et samedi 28/01 : Le vent a forcit et la barre n'est pas facile à tenir. Marie rale, Edward admet que c'est difficile. On réduit la grande voile (on met 1 ris). On enlève le genois qui commence à se déchirer et on passe au foc.
Lundi 30/01 : on sait qu'on n'est pas loin. On commence à voir plus de bateau. On passe entre Barbuda et Antigua.
On peche notre dernier poisson. Au final, on aura eu 4 dorades coryphènes, 2 espada et 1 jack fish. Edward nous cuisine ca de manières différentes : à la poele, frit, pané, séché puis réhydraté et grillé avec riz ou pâte, en risotto, en soupe...
Mardi 31/01 janvier : Journée merdique, le vent change sans arret, il pleut, la mer est agitée. On aperçoit Saint Bart, ca veut dire que Saint Martin n'est pas loin. A minuit, on arrive coté hollandais ; on jette l'ancre au mouillage de Simpson Bay. Pour souhaiter ca, on ouvre une bouteille de vin. Edward nous félicite. Il avoue que parfois il est colérique et qu'il n'a pas toujours été facile pendant le voyage, c'est vrai mais on ne lui en veut pas ! On apprécie cet homme, plein d'expériences diverses et variées. Certes il est charismatique mais il a des valeurs intéressantes et qu'on partage.
Marie a un peu le mal de mer. On se répartit les quarts ; 3h chacun-e. Den commence à 21h. Cap 270 degrés ouest ; un oeil sur la boussole et un oeil qui prend un point de repère à l'horizon (étoile, nuage...) et hop ! On tient la barre (pas de pilote automatique), c'est plus ou moins facile selon le vent et les vagues.
Jeudi 12/01 : La mer forcit et on découvre les Saragasses, ces algues jaunes venant de la mer des Sargasses plus au Nord !
On prend le rythme. 3h de quart, 6h de pause qu'on occupe en dormant, petits travaux, nettoyage, repas.
Les alizées nous poussent. La grande voile reste abaissée, pour l'instant le foc suffit.
Vendredi 13/01 : En soirée on aperçoit des dos d'orques, nageant en sens inverse. Ca nous change des poissons volant ! La faune sous marine se fait rare en revanche les oiseaux sont présents.
Mardi 17/01 : Une semaine déjà ! Le temps perd de son sens. Les journées s'enchainent, à notre rythme, toujours le même et pourtant les jours ne se ressemblent pas. La mer est redevenue calme, ca facilite le sommeil !
Les nuits sont claires et pendant le quart, l'observation des étoiles occupe et passe le temps. A tribord la grande ourse nous indique le Nord et à babord, c'est la croix du Sud. Les étoiles filantes sont là tous les soirs, par dizaine ; des grandes, des petites, des lumineuses, des discrètes...
Mercredi 18/01 : Notre premier poisson enfin ! On a une canne à pêche, mais les premiers jours elle s'était emmêlée dans l'hélice du moteur. Elle a finalement cassé et on l'a récupérée. Edward y a mis un hameçon et on a fixé une petite cuillère. Les dorades se laissent avoir facilement par le scintillement. Du poisson au menu, ca change. Tous les jours on prépare du riz. En produit frais on a des oignons et de l'ail pour la quasi totalité du voyage. On a pu manger pomme de terre, oeufs, carottes, pommes, oranges les 2 premières semaines. On avait aussi un peu de fromage et du pain pour les premiers jours. Edward avait un reste de fève et de pois cassé du Maroc. Ca c'était le top ! On a aussi fait des pates à la sauce tomate et de la semoule. Sur la fin on a ouvert des boites de haricots et de sardines pour mélanger avec le riz.
Dimanche 22/01 : le ciel est sombre et vers 14h c'est la grosse pluie. Et hop, c'est parti pour la douche. On l'attendait celle la ! On se déssale un bon coup même si on sait que ca ne va pas durer.
On croise notre premier bateau, un cargo. On le capte par radio, il se rend au Surinam.
Dans la nuit, les dauphins viennent à coté du bateau mais c'est la nuit et on ne voit rien.
Mercredi 25/01 : Ça fait 2 semaines. On commence vraiment à s'intéresser à l'avancée. Tous les midis, Edward fait le relevé de la position et calcule notre distance parcouru. On a fait environ 1500 mile sur 2200. On avance en moyenne de 100 mile par jour. On sait qu'on a fait les 2/3 du chemin, ca rassure, on se rapproche de l'arrivée !
Le rythme n'a pas changé, les activités sont les mêmes. Pendant un moment, on a mis le spi, on avançait à 7 nœuds, mais ca tirait fort sur la barre.
Ces derniers jours on navigue avec le genois ; on a perdu le spi qui s'est glissé hors de son sac.
Le vent s'est arrêté ce jour, c'est rageant. En plus il y a une plus fine et froide qui tombe.
Jeudi 26/01 : On hisse la grande voile pour avancer plus rapidement. Dans la nuit on a manqué un sacré gros poisson. On a voulu le tirer trop vite au lieu de le laisser se fatiguer et résultat il a réussi à s'échapper !
Vendredi 27 et samedi 28/01 : Le vent a forcit et la barre n'est pas facile à tenir. Marie rale, Edward admet que c'est difficile. On réduit la grande voile (on met 1 ris). On enlève le genois qui commence à se déchirer et on passe au foc.
Lundi 30/01 : on sait qu'on n'est pas loin. On commence à voir plus de bateau. On passe entre Barbuda et Antigua.
On peche notre dernier poisson. Au final, on aura eu 4 dorades coryphènes, 2 espada et 1 jack fish. Edward nous cuisine ca de manières différentes : à la poele, frit, pané, séché puis réhydraté et grillé avec riz ou pâte, en risotto, en soupe...
Mardi 31/01 janvier : Journée merdique, le vent change sans arret, il pleut, la mer est agitée. On aperçoit Saint Bart, ca veut dire que Saint Martin n'est pas loin. A minuit, on arrive coté hollandais ; on jette l'ancre au mouillage de Simpson Bay. Pour souhaiter ca, on ouvre une bouteille de vin. Edward nous félicite. Il avoue que parfois il est colérique et qu'il n'a pas toujours été facile pendant le voyage, c'est vrai mais on ne lui en veut pas ! On apprécie cet homme, plein d'expériences diverses et variées. Certes il est charismatique mais il a des valeurs intéressantes et qu'on partage.
Mercredi 1/02 : Le soleil chauffe (28°), on se réverille tôt, calé sur le rythme des quarts, on q dormi 6h. L'eau est turquoise, les montagnes sont vertes. Une averse raffraîchit l'atmonsphère de temps en temps. On est bien aux Caraïbes ! On a traversé l'Atlantique sur un bateau de 8m avec le minimum : pas de frigo, de gros réservoirs d'eau, même pas de table pour jouer aux cartes ou aux dés ! Un lit pour dormir, du gaz pour cuisiner, un cockpit pour s'asseoir ou s'allonger et 21 jours pour penser, rêver, réfléchir, fantasmer, planifier, déplanifier, imaginer...
On reprend la mer quelques heures pour aller côté français, au mouillage de Marigot. A la Marina, on rencontre des amis à Edward : Montaine et Jean-Louis, dit Loulou. Deux personnages qui nous filent les bons plans du coin. Leur bateau est au chantier (pas de thune pour réparer), ils vivent là. Ils sont tous les deux portés sur la boisson et comme dit Montaine "on est le couple le plus rock'n'roll", ça c'est sûr !!!! Mais ils sont surtout très sympas.
Voila, on reste donc sur le bateau le temps de profiter de la ville et ses services.
Ensuite on aimerait découvrir l'île. On a commencé à prendre des contacts avec des couch surfers, donc on verra.
vendredi 3 février 2012
Petite info
Pour nous joindre vous pouvez nous envoyer des SMS seulement, ne laissez pas de message sur notre messagerie. 0033 6 38 77 82 67.
jeudi 2 février 2012
De l'autre coté...
Et voila !!!!! Nous y sommes !
Nous sommes partis le mardi 10 janvier à 17h et nous sommes arrivés le 31 janvier à minuit heure locale (cad -5h par rapport à chez vous).
On a d'abord accosté à Simpson Bay, du coté hollandais de Saint Martin. Et hier nous avons rejoint le coté francais.
Donc trois semaines en mer, 10kg de riz, 2kg de pates, du poisson frais et 120L d'eau se sont écoulés.
Expérience inoubliable, ca c'est sur !
On n'avait pas de pilote automatique, alors il fallait tenir la barre 24h24. Pour cela, on s'est organisé en quart de 3h chacun. Le vent nous a poussé en moyenne de 5noeuds. On a fait environ 100 miles par jour, par tous les temps ! Eh oui il faisait généralement beau mais on a essuyé quelques pluies. D'ailleurs ca nous a permis de nous laver au moins une fois à l'eau douce !!!
Les jours se sont alignés sans forcément se ressembler mais les activités étaient sensiblement les mêmes : tenir la barre, dormir, préparé à manger, manger, et parfois nettoyer le bateau, changer, border ou choquer les voiles et surtout rêver, penser...
En tout cas on est aux Caraïbes, la couleur de l'eau nous le prouve, le climat aussi et le mode de vie !!
On reste sur le bateau d'Edward, notre capitaine au grand coeur mais parfois colérique (c'est lui qui le dit !!!). Et on va repartir à la recherche d'un autre bateau ! Cette fois destination Colombie ou Venezuela !
On vous décrira la traversé plus précisément plus tard, avec les photos, etc.
Bon pour nous joindre, notre numéro francais : 06 38 77 82 67
Nous sommes partis le mardi 10 janvier à 17h et nous sommes arrivés le 31 janvier à minuit heure locale (cad -5h par rapport à chez vous).
On a d'abord accosté à Simpson Bay, du coté hollandais de Saint Martin. Et hier nous avons rejoint le coté francais.
Donc trois semaines en mer, 10kg de riz, 2kg de pates, du poisson frais et 120L d'eau se sont écoulés.
Expérience inoubliable, ca c'est sur !
On n'avait pas de pilote automatique, alors il fallait tenir la barre 24h24. Pour cela, on s'est organisé en quart de 3h chacun. Le vent nous a poussé en moyenne de 5noeuds. On a fait environ 100 miles par jour, par tous les temps ! Eh oui il faisait généralement beau mais on a essuyé quelques pluies. D'ailleurs ca nous a permis de nous laver au moins une fois à l'eau douce !!!
Les jours se sont alignés sans forcément se ressembler mais les activités étaient sensiblement les mêmes : tenir la barre, dormir, préparé à manger, manger, et parfois nettoyer le bateau, changer, border ou choquer les voiles et surtout rêver, penser...
En tout cas on est aux Caraïbes, la couleur de l'eau nous le prouve, le climat aussi et le mode de vie !!
On reste sur le bateau d'Edward, notre capitaine au grand coeur mais parfois colérique (c'est lui qui le dit !!!). Et on va repartir à la recherche d'un autre bateau ! Cette fois destination Colombie ou Venezuela !
On vous décrira la traversé plus précisément plus tard, avec les photos, etc.
Bon pour nous joindre, notre numéro francais : 06 38 77 82 67
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